L'univers des écrits de et sur Albert Londres






pour chaque article : illustrations, aphorismes "londresiens" et accès au Fac similé intégral du journal en pdf.


livre 4 - En Espagne, Italie et Moyen-Orient - 1919 et 1920

Les Bolcheviques en Espagne, un bref séjour à Madrid - janvier 1919

Albert Londres est bien devenu aux yeux de tous un "grand" reporter. Ses employeurs journaux à grand tirage vont lui confier des sujets à haut contenu géopolitique. Son entretien avec le roi d'Espagne laissera des traces au parlement espagnol. Ainsi que sa perception de l'arrivée du bolchevisme, qui venait de triompher en Russie, dans les deux régions contrastées de Catalogne et d'Andalousie.

Dans ce domaine de géopolitique où il excelle, A.L. déploie sa verve aux expressions imagées.



Le Petit Journal 24 janvier 1919
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Le bolchevisme dans la question catalane et la question andalouse

Madrid janvier 1919
Deux maladies attaquent le pays : la Catalogne veut la liberté, l'Andalousie du pain. Sur les deux parties malades de l'organisme de l'Espagne passe, venant de là-bas, le microbe de l'époque. Les plaies étaient là, ouvertes, mais n'infectaient pas. Le bolchevisme s'y pose, les voilà purulentes.
En Andalousie, grande misère. .. Le chômage, la faim, avivaient chaque année la blessure... Le succès de Moscou excita les esprits.
La Catalogne, pour des raisons d'appréciation personnelle de sa valeur, réclame l'autonomie administrative et politique, la séparation pour ainsi dire... Que les Catalans m'entendent bien; ce n'est pas eux qui se sont faits bolcheviques, c'est le bolchevisme qui s'est fait catalan.



Le Petit Journal 3 février 1919
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Barcelone la catalane
Barcelone janvier
Les étincelles ne cessent de jaillir entre la garnison et la ville. Insultés des yeux dans les trains, dans les rues, les officiers sont à bout. Une grave parole court la rambla. C'est un journal de Madrid qui l'a prononcée : "en voilà assez, pas un jour, pas une heure de plus, qu'on en finisse avec ces mauvais Espagnols, noyons-les s'il le faut dans des flots de sang".











Le Petit Journal 10 février 1919
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Vous qui souffrez de la vie chère, venez en Espagne
Madrid février 1910





Le Petit Journal 21 février 1919
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Le roi d'Espagne me reçoit
Madrid février 1919
La conversation d'Alphonse XIII ressemble à sa personne : elle a grande allure.
"Que demandons-nous au Maroc - puisqu'en somme c'est du Maroc que nous parlons -, nous ne demandons rien que le statu quo."
(déclaration qui provoquera un violent débat aux Cortes)






Le Petit Journal 23 mars 1919
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la dégradation de l'Allemand à l'étranger

Madrid
L'Allemand est détrôné en Espagne. Il n'a pas abandonné sa croisade. Il jette bien encore ses ancres, par-ci, par-là, pour assurer son vaisseau. Elles ne touchent plus guère le fond. Le roi du jour est américain.





Comment l'Italie sort de la victoire

L'Italie avait rejoint les Alliés en cours de route. La Conférence d'après-guerre de Paris, qu'A.L. cite sans donner aucun contenu, provoque de violentes réactions populaires, l'Italie ne se voyant pas suffisamment récompensée, essentiellement en ce qui concerne la région de Trieste et le statut de Fiume. Ce qui sera la cause de l'aventure de Gabriele d'Annunzio pour conserver ce territoire.

Les exemples du style londresien foisonnent dans les textes relatant les manifestations exubérantes de la population italienne. On le retrouve ensuite dans un autre registre lors de sa description de l'aventure de son "confrère" poète d'Annunzio qui devient le "dictateur" de Fiume. Le récit de son entretien lorsqu'il fut invité à déjeuner en sa résidence de Venise, est un morceau d'anthologie.



Le Petit Journal 29 mars 1919
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Le Petit Journal 4 avril 1919
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Comment s'est fait le coup de main de Budapest



Le Petit Journal 11 avril 1919
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Où Bela Kun fait un effort pour ne pas rompre avec l'Entente















Le Petit Journal 19 avril 1919
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Ce que réclament Italiens et Serbo-Croates










Le Petit Journal 21 avril 1919
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Suis-je ou ne suis-je pas Bolcheviste ?














Le Petit Journal 26 avril 1919
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Manifestations enflammées dans Rome entière
Rome, 25 avril
Hier après-midi seulement, à trois heures, Rome apprit par les journaux l'évènement de la Conférence. Ce fut d'abord un coup de massue, suivie d'un coup de foudre... Toutes les villes sont debout.



Le Petit Journal 28 avril 1919
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Ovations et manifestations continuent à Rome


Le Petit Journal 29 avril 1919
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Tous les Italiens appuient monsieur Orlando

La tempête souffle en Italie
Rome 26 avril
L'Italie sent ou se croit attaquée. Le même frisson, à la même heure, à la même seconde. Tous, francs-maçons, catholiques, protestants, socialistes, giolittiens, femmes, veuves, mutilés, démobilisés, et les corporations ont collé de grandes affiches sur les murs pour dire : "Nous sommes là!"
L'initiative de M Wilson a produit l'effet du ciment armé. Aujourd'hui elle unit, soutient et élève l'Italie à la face du monde.



Le Petit Journal 3 mai 1919
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Le gouvernement italien et l'opinion


Le Petit Journal 7 mai 1919
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Comment messieurs Orlando et Sonnino prirent le train


Le Petit Journal 11 mai 1919
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La nouvelle Italie
Rome mai 1919
L'Italie est une mère qui, ayant depuis cinquante ans couvé son unité, se précipite à la fin dans la bataille pour la faire éclore.
Et arrivera ce qui arrivera. Or d'Annunzio est le guide. C'est l'apôtre de la nouvelle religion.
"Notre soeur latine". Oui, l'Italie est notre soeur latine. Mais ce qu'il faut surtout que la France soit, pour la contenter, c'est son amie et son alliée. La "soeur latine" sera par dessus le marché.




fin collaboration avec Le Petit Journal - collaboration à L'Excelsior



En Italie avec l'épopée de d'Annunzio - septembre à décembre 1919


L'Excelsior 16 septembre 1919
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D'Annunzio n'avait pas caché ses intentions


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J'entends dire à Paris :"d'Annunzio, c'est un fou!" Il me parla le plus froidement du monde. Pour lui sa résolution est prise : si l'Italie cédait Fiume, lui, la reprendrait. Il la reprendrait tout seul.
Regardons un peu ce qu'est le nouveau d'Annunzio... C'est un État dans l'État. Où il passe, l'admiration murmure, où il doit passer l'admiration halète, où il est passé, l'admiration résonne... Ce qui fait sa force, c'est qu'il a dit : "faisons la guerre" et qu'il l'a faite. Il y a perdu un oeil, mais y a gagné de la voix. Au-dessus des représentants du peuple, il parle : c'est l'oracle.
Lui-même a oublié qu'il fut romancier, dit-on? Est-ce vrai? Il est soldat. Il est commandant de la squadra de San Marco... Dans tout Rome, les deux d'Annunzio s'empoignent, et l'homme de lettres roule sous l'homme d'action. Pour agir, il agit. Le pape lance des bulles; lui, expédie des messages.




L'Excelsior 22 septembre 1919
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Ce que j'ai vu en arrivant aux portes de Fiume

Mattiglio, à cinq kilomètres de Fiume, 18 septembre
Soixante-quinze kilomètres séparent Trieste de Fiume. Nous en avons accompli soixante-dix. Nous sommes à Mattuglie. Là, se dresse la muraille de Chine. Derrière, d'Annunzio, déjà coulé dans le bronze, avec on ne sait plus combien d'hommes, est enfermé dans Fiume.

Les troupes anglaises sont à Abbazia, l'ancienne Nice autrichienne, à dix kilomètres sur le golfe - en villiégiature. Les troupes françaises n'avaient pas quitté Fiume tout de suite. Elles sont parties depuis.







L'Excelsior 23 septembre 1919
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Le bloc en dentelle


L'Excelsior 27 septembre 1919
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L'entretien avec le "dictateur" de Fiume
Fiume
J'ai gagné Fiume, en pleine nuit, dans la barque d'un pêcheur. Nous sommes au coeur de l'action. Gabriele d'Annunzio est dans l'un de ces salons prenant jour ici.. Et simplemment, poussant lui-même la porte, d'Annunzio vient à nous... Vous êtes donc parti de Venise le 11? "Oui. Je quitte Venise, j'arrive à Ronchi... Toutes mes troupes me suivent. J'entre à Trieste, j'ai une véritable armée : des régiments entiers, des mitrailleuses, des autocanons... J'entre dans Fiume. Ce fut l'heure la plus flamboyante de mon existence. Pas une femme, pas un enfant qui n'ait sa palme à la main."
Où étaient les troupes alliées? "Je ne les ai pas vues"




L'Excelsior 1 octobre 1919
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Fiume, la passion de deux peuples


Sussak slave, Fiume italienne, face à face


L'Excelsior 12 octobre 1919
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D'Annunzio refuse d'évacuer Fiume





L'armée et la marine n'obéissent plus au gouvernement de M. Nitti
Rome 12 octobre
Tous les efforts que le gouvernement tente depuis un mois pour noyer le péril d'Annunzio ont échoué. d'Annunzio est à Fiume et n'en sortira pas.









L'Excelsior 16 septembre 1920
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L'Excelsior 15 janvier 1921
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d'Annunzio est toujours à Fiume mais ses arditi sont partis
Abazzia 9 janvier 1921
L'astre de Gabriele d'Annunzio vient de se coucher derrière le Monte-Maggiore. Il fait cependant un peu de soleil...Il est encore dans ce palais, tout près, d'Annunzio. Mais, aujourd'hui, son pouvoir est éteint - son pouvoir matériel, bien entendu. Entouré de quinze cents de ses plus purs légionnaires... il n'est plus que le dernier des rebelles... demain nous serons à Fiume... pour le moment, ce sont les légionnaires qui en sortent.



L'Excelsior 16 janvier 1921
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d'Annunzio ne veut plus que le silence, et refuse tout honneur
Fiume 10 janvier 1921
C'est fini. L'incendie est éteint. La dernière étincelle vient de sombrer en mer. Fiume est dépouillé de son heaume, de sa cuirasse, de son épée. Fiume n'est plus qu'un corps sans épée et qui choit. Le blocus déjoué, vous allez seul.











Avec les nationalistes arabes du Proche Orient - décembre 1919   juillet 1920

Français et Anglais sont chargés de la tutelle de pays qui ne sont pas officiellement en guerre, mais dont la situation anarchique, avec de multiples ethnies et religions, crée un climat de terreur permanent pour tous les habitants. Il semble qu'A.L. ait circulé assez largement dans toute la région de l'actuelle Arabie Saoudite (le Hedjaz) de l'Egypte du Liban et de la Syrie, décrivant des situations compliquées, et des récits de massacres d'Arméniens à Orfa en Turquie.

Albert Londres pour la première fois décrit un territoire qui n'est pas en guerre. La terreur et les réglements de comptes y règnent, certains aspects de cette situation se retrouveront plus tard en Chine, comme pour ce qui est décrit sur Damas ci-dessous. Mais le ton général n'est pas en verve, c'est celui de la dénonciation d'une propagande et d'actions visant à oter tout crédit à la présence française.




L'Excelsior 9 décembre 1919
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le général Gouraud fait une entrée triomphale à beyrouth
Beyrouth 22 novembre
Gouraud monte sur son cheval blanc. Le soleil fait briller les neiges du Liban. Le long des trottoirs sont les enfants. Ils chantent. Ils ne chantent pas tous le même chant. Que c'est faux, entendu par l'oreille, que c'est juste, entendu par le coeur!



L'Excelsior 10 décembre 1919
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les soldats français de Gouraud ont relevé les Indiens d'Allenby



L'Excelsior 27 décembre 1919
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Des bandits attaquent le train dans lequel je me trouvais
Damasdécembre 1919
Damas, grâce à de nombreux travaux - travaux de propagande exécutés au cours de ces derniers treize mois, s'est élévé à la dignité de centre panislamique. Si, pour les Arabes, La Mecque est la ville sainte, Damas est, présentement, la cité intellectuelle.
Le Palace Hôtel était le rendez-vous des "purs"... C'est le club arabe... ces messieurs étaient à table. Ils étaient à table d'hôtes... Vous permettez? dîmes-nous. "Soyez le bienvenu". C'étaient des docteurs, des avocats, des conseillers à la cour ... Dix minutes après, ces incorruptibles, qui, deux fois par semaine, dans leur salle basse, nous condamnent à mort, nous chiens d'Occident, discutaient avec moi, en m'appelant : "Mon cher!"



L'Excelsior 29 décembre 1919
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Les fanatiques de Damas, capitale de l'émir Fayçal, entretiennent la terreur
Damas sert, présentement, de capitale au royaume présomptif de Fayçal. C'est, de plus, la cité de l'attente atterrée. Quarante hommes, dont vingt gamins... le club arabe, El Nadi el Arabi, terrorisent les trois cent mille habitants de la ville des jardins, des roses et des eaux. Le club arabe arme les bras. Il a des fusils et des grenades.


L'Excelsior 31 décembre 1919
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des bandes de brigands sont descendues des montagnes



L'Excelsior 3 janvier 1920
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Ce qui se passe en Syrie









De Mersina à Adana, le général Gouraud est partout acclamé









L'Excelsior 8 janvier 1920
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Une visite à l'émir Zéïd
Les quatre fils du roi Hussein








L'Excelsior 13 janvier 1920
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L'itinéraire de Beyrouth à Jérusalem





L'Excelsior 15 janvier 1920
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Un cardinal de France a célébré la messe de Noël à Bethléem




L'Excelsior 25 janvier 1920
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Scènes orientales de révolution au Caire




L'Excelsior 30 janvier 1920
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Le royaume de sable de l'émir Hussein




L'Excelsior 2 février 1920
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L'agitation nationaliste parmi le peuple égyptien





L'Excelsior 5 février 1920
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Le massacre d'un peuple














L'Excelsior 7 février 1920
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Un peu de lumière sur nos difficultés dans le Levant













Comment et pourquoi Fayçal, fils d'Hussein, reçut une couronne




L'Excelsior 25 juillet 1920
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Damas, capitale de l'émir Fayçal





L'Excelsior 26 juillet 1920
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L'organisation de l'anarchie




Six articles parus dans LE PETIT MARSEILLAIS


Le Petit Marseillais 3 janvier 1920
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Le Club arabe de Damas sème la terreur parmi 300 000 habitants



Le Petit Marseillais 5 janvier 1920
fac-similé Retronews

Les difficultés de la France



Le Petit Marseillais 14 janvier 1920
fac-similé Retronews

Quel sort sera fait à Jérusalem ?



Le Petit Marseillais 24 janvier 1920
fac-similé Retronews

L'EGYPTE RECLAME son indépendance



Le Petit Marseillais 26 janvier 1920
fac-similé Retronews

Le nouveau royaume du Hedjas



Le Petit Marseillais 2 février 1920
fac-similé Retronews

La situation s'aggrave en Egypte


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